Où l'on s'interroge sur la liberté retrouvée au terrasse des cafés
https://youtu.be/b7LCKxtfV8M
Le temps qu'il fait... dans les consciences.
Un lieu, dans un café. Cette année 2017/2018, c'est au 3 P'tits Bouchons à Reims. Salomé et Lucille nous acueillent.
Le samedi, une fois par mois, de 17 heures à 19 heures parfois on dépasse un peu.
Entrée libre et gratuite. On prend juste une consommation. C'est très convivial
Un public, souvent adultes et deux animateurs. Tout le monde est assis autour d'une table et du thème ;
Le thème, souvent une question posée à tous. D'actualité ou de toujours.
On repart sans réponse mais avec beaucoup de questions.
Jean-Pierre fait un compte-rendu. On le trouve ici.
J'oubliais : Marie réalise une « feuille » avec des textes, des citations. Comme dans toutes les feuilles, il y a un recto et un verso.
Où l'on s'interroge sur la liberté retrouvée au terrasse des cafés
https://youtu.be/b7LCKxtfV8M
C'est la 11ème chronique du ou de la COVID intitulée « Les vieux: confinés, isolés, enfermés? » Elle nous est proposée cette fois-ci par Michel BILLÉ, sociologue, quelque peu philosophe et surtout ami, qui revient avec nous sur la pensée et la pratique du confinement. Celui-ci n'a-t-il pas été proche, en EHPAD en particulier, de l'isolement et de l'enfermement voire de l'immobilisation ?
OÙ ce qu'il en coûte de ne pas rester là où on nous a placés...
Où comment une plante nommée saxifrage peut nous éclairer sur le monde à venir...
- « 10 % de morts en moins, c'est réconfortant, n'est-ce-pas ? » - « Eh bien non !!! »
Ou Ethique je memarre
Où il sera question de la vérité en temps de crise
Où si, selon le philosophe Bergson, conscience et mouvement vont de conserve, alors qu'en sera-t-il de l'immobilité du confinement ?
C'est la 4ème chronique de la pandémie où l'on s'interroge sur l'usage du mot crise et où l'on tente une hypothèse audacieuse.
Où un "chez soi" peut en cacher un autre